La femme est la propriété de l'homme selon la Bible


Dans cet article, nous allons prouver que selon la Bible, la femme est considéré comme le bien de son mari. En effet, la femme est décrite comme appartenant à l'homme, à l'instar des esclaves et des animaux :

Exode 20.17 
Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son boeuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain.

Deutéronome 5.21 
Tu ne convoiteras point la femme de ton prochain; tu ne désireras point la maison de ton prochain, ni son champ, ni son serviteur, ni sa servante, ni son boeuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain.


Ces versets sont clairs, la femme est quelque chose qui appartient à l'homme. Un autre verset dit :

Jérémie 6.12
Leurs maisons passeront à d'autres, Les champs et les femmes aussi, Quand j'étendrai ma main sur les habitants du pays, Dit l'Eternel.


La Bible Annotée dit :

Leurs champs et leurs femmes: la femme confondue avec les autres propriétés pour tomber en esclavage. Bible Annotée sur Jérémie 6.12.


Paul dit que la femme a été crée à cause de l'homme, pour lui :

1 Corinthiens 11:9 
et l'homme n'a pas été créé à cause de la femme, mais la femme a été créée à cause de l'homme.


La femme vierge non-fiancée appartient à son père, c'est pour cela que si elle se fait violer, on ne punit pas le violeur mais on l'oblige à payer une somme d'argent au père de la fille déshonorée. La Bible Annotée dit :

Cette loi ne se rattache aux précédentes que par l'idée générale d'abus de confiance à l'égard de la propriété d'autrui. Une fille non fiancée est le bien du père. #De 22:25-27 traite de la séduction d'une fiancée, cas qui était puni comme celui d'adultère. Le vrai parallèle du cas dont il s'agit ici se trouve #De 22:28-29 Dans la loi israélite, la séduction est traitée non comme un cas criminel, mais comme un dommage qui doit être réparé (ce qui n'est pas le cas chez nous). Cette réparation est le mariage forcé, qui oblige l'époux, aussi bien que tout autre mariage, à payer un douaire au père de la fiancée. De plus, d'après le Deutéronome, le mariage est dans ce cas indissoluble, sans divorce possible. Si le mariage n'a pas lieu, ce qui ne petit arriver que par suite d'un refus formel du père (ou aussi de la fille, selon le Talmud), le séducteur n'en doit pas moins payer un douaire comme on le paie quand on épouse une vierge; probablement cinquante pièces d'argent. {comme #De 22:29}. Bible Annotée sur Exode 22.16.


Le dictionnaire de Westphal dit :

La femme devient ainsi la propriété du mari: il est le baal, c'est-à-dire le propriétaire, elle est la beoulâ, c'est-à-dire la propriété. C'est pourquoi le Code de l'Alliance {#Ex 22:16} considère la séduction d'une jeune fille non fiancée comme un vol à l'égard de son père et la punit par le paiement d'une somme égale au mohar. Le montant moyen du mohar nous est inconnu. Osée {#Os 3:2} indique la somme de 15 sicles d'argent et une certaine quantité d'orge; le Deutéronome fixe le mohar, comme l'avait fait déjà le Code de Hammourabi, à la somme de 50 sicles d'argent. Dictionnaire Encyclopédique de la Bible-Westphal, définition du mot "mariage".

Aussi loin qu'on remonte dans le passé d'Israël, la femme y tient une position d'esclave; elle est la propriété, la chose de son mari; la monogamie est exceptionnelle et tardive. Le mari a acquis ses femmes par enlèvement à la guerre {#Jug 5:30,de 21:10-14} ou par achat {#Ge 24:16,ex 22:16,de 22:29}.
Dictionnaire Encyclopédique de la Bible-Westphal, définition de "femme".



Ainsi, la Bible nous décrit la femme comme étant la chose de son mari.




01/01/2009
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