Les relations sociales entre non-musulmans et musulmans

 


Ici nous verrons de façon lapidaire, Insha Allâh, les principes essentiels devant guider les relations sociales entre non-musulmans et musulmans.


En premier lieu, nous notons que l'Islam demande d'agir en bien envers toutes les créatures, cela englobe bien évidemment les incroyants pacifiques, ne combattant pas les musulmans.


Sourate 60:8-9


Dieu ne vous défend pas d'être bienfaisants et équitables envers ceux qui ne vous ont pas combattus pour la religion et ne vous ont pas chassés de vos demeures. Car Dieu aime les équitables. Dieu vous défend seulement de prendre pour alliés ceux qui vous ont combattus pour la religion, chassés de vos demeures et ont aidé à votre expulsion. Et ceux qui les prennent pour alliés sont les injustes.


D'après Abû Hourayra (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) a dit : "Un homme qui marchait, éprouva une soif très violente en cours de route. Trouvant un puits, il y descendit et but. Quand il sortit, il vit un chien tirant la langue et mordant la terre humide tant qu'il avait soif. - "Ce chien, dit l'homme, éprouve une soif aussi grande que celle que j'éprouvais moi-même tout à l'heure". Il redescendit alors dans le puits, remplit sa bottine d'eau, la tint entre les dents, sortit du puits, puis abreuva le chien. Dieu lui en fut Reconnaissant et lui pardonna ses péchés. - "Ô Envoyé de Dieu, dirent alors les fidèles, serons-nous donc récompensés à cause des animaux?". - "Oui, répondit-il; il y a une récompense pour (le bien fait à) TOUT ETRE VIVANT (mot à mot : tout possesseur d'un foie frais)". (rapporté par Muslim, n° 4162)


D'après Abû Hourayra (que Dieu l'agrée) l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) a dit : "Il est trois personnes à qui Dieu n'adressera pas la parole au Jour de la Résurrection, ni les regardera, ni les purifiera et auxquelles Il a réservé un châtiment douloureux. L'homme, se trouvant dans le désert et ayant de l'eau en surplus, la refuse à un voyageur en détresse. Un second vendant sa marchandise à un autre à qui il jure par Dieu -après l'heure du 'asr- qu'il l'avait achetée à tel ou tel prix (en vue d'un surcroît de profit), prenant ainsi l'acheteur pour dupe. Et un troisième qui, prêtant serment de fidélité à un souverain, ne le fait qu'en vue d'un profit temporel, et qui, reste fidèle tant qu'on le lui donne, sinon, il ne tient aucunement à ses engagements". (rapporté par Muslim, n° 157)


Note: le voyage en détresse peut être un croyant ou un incroyant.


Aussi le Prophète (sur lui la Paix) a dit : "Le Tout Miséricordieux se montre clément envers ceux qui font preuve de miséricorde. Faites miséricorde à ceux qui se trouve sur terre, Celui qui se trouve au ciel vous fera miséricorde." (Abû Dâoûd et Tirmidhi – Authentifié par Albâni r.a.)



On voit bien que la bienfaisance est destinée à tout le monde (sauf ceux qui cherchent à s'en prendre aux musulmans. Mais même en cherchant à les mettre hors d'état de nuire, il y a des limites à ne pas dépasser).

 


Une question et sa réponse:
Est-ce par mansuétude ou par hypocrisie et "tactique d'Islamisation" que le musulman peut être amené à faire œuvre de charité vis-à-vis de l'incroyant ? Certaines personnes, apparemment mal informées (ou peut être mal intentionnées...) soutiennent que ce n'est qu'une "tactique"  ayant pour finalité de convertir le non-musulman par le biais de la charité :


De cette manière, un Musulman peut sembler être bienfaisant avec un non-musulman, mais ceci est simplement fait dans le but de le convertir à l'Islam, dans le cas où cet appel n'atteindrait pas son but, alors il n'est plus demandé d'avoir une attitude bienfaisante envers le non-musulman (…) Le problème est qu'il n'y avait pas de charité dans ces actes, ceci était simplement fait en vue de convertir les gens à l'Islam


http://facealislam.free.fr/moussa_youssouf-islamVSchristianisme1.htm



C'est vrai que la bienfaisance est de rigueur en faisant la Da'wa (l'appel à l'Islam) mais elle ne se limite pas à cela. Si le musulman fait le bien à un non-musulman, c'est aussi dans l'espoir de recevoir une récompense dans l'au-delà pour ce geste comme l'indiquent très clairement les traditions susmentionnées.


Coran 30/39


Tout ce que vous donnerez à usure pour augmenter vos biens aux dépens des biens d'autrui ne les accroît pas auprès de Dieu, mais ce que vous donnez comme aumône, tout en cherchant la Face de Dieu (Sa satisfaction)... Ceux-là verront [leurs récompenses] multipliées


Or les bénéficiaires d'aumônes peuvent aussi des non-musulmans.



Question: Salamou 'aleykom



Est-ce que une bonne action envers un non musulman est considérée comme une aumône ?


Répondue par Dr Abdul Wahhab At-Turairy


Oui, c'est considéré comme une sadaqah, Allah le Très-Haut dit : "… Tenez de bonnes paroles aux gens…". Le Prophète dit : "Il n'y a point de musulman qui plante un arbre ou sème une plante qu'un homme, un oiseau ou un animal mange sans que cela ne lui soit compté comme une sadaqah"


http://islamtoday.net/french/show_detail_section_french.cfm?qa_id=341&main_cat_id=4



D'après Qatâda, 'Anas (que Dieu l'agrée) dit: "Le Messager de Dieu (Paix sur lui) a dit: "II n'y a pas de musulman qui plante un arbre ou sème une graine, et que vient ensuite en manger un oiseau, UN HOMME ou une bête, sans que cela ne lui soit considéré comme étant une aumône." (rapporté par al-Bukhârî, n° 2320)


En outre, la charité vis-à-vis de non-musulmans, gens de Quraysh ou gens sous protection (ahl ad-dhimma), fut effectuée par le Prophète Muhammad, saws, et les premiers musulmans.



Le Sheikh Yûsuf Al-Qardhawî cite à cet égard, quelques exemples pertinents :


Muhammad Ibn Al-Hasan, le compagnon de Abû Hanîfah et le consignateur de sa jurisprudence, rapporta que, lors d'une année de sécheresse, le Prophète - paix et bénédictions sur lui - envoya aux habitants de la Mecque de l'argent destiné aux pauvres et ce, malgré la souffrance et la peine que les mecquois lui avaient fait endurer auparavant, lui et ses compagnons.

(…)

Cette tolérance se manifeste également dans le comportement des compagnons et des successeurs envers les non-musulmans. Ainsi `Umar ordonna-t-il qu'une allocation permanente puisée dans le Trésor Public des musulmans soit versée à un juif et à ses enfants. Il ajouta : 'Le Très-Haut dit : ' Les aumônes ne sont destinées qu'aux pauvres, aux indigents, [...]' [12] et ceux-là sont des pauvres parmi les Gens du Livre.' [13] Puis, sur son chemin vers le Shâm, il vit des chrétiens lépreux et ordonna qu'une aide sociale leur soit versée du Trésor Public des musulmans.

(…)

Lorsque la mère d'Al-Hârith Ibn Abî Rabî`ah - qui était chrétienne - décéda, les compagnons du Messager d'Allâh - paix et bénédictions sur lui - accompagnèrent son cortège funèbre. [16] De même, certains nobles successeurs donnaient une partie de zakât al-fitr [17] à des moines chrétiens et n'y voyaient aucun inconvénient. Certains d'entre eux, comme `Ikrimah, Ibn Sîrîn et Az-Zuhrî - étaient même d'avis que l'on pouvait leur verser une partie de la zakât à proprement parler [18]. Ibn Abî Shaybah rapporta que Jâbir Ibn Zayd fut interrogé au sujet de l'aumône : Qui est habile à la recevoir ? Il répondit : 'Vos coreligionnaires musulmans et les gens de leur dhimmah.' [19]


Source : http://www.islamophile.org/spip/article860.html#nh13



On voit ici des musulmans (parmi lesquels le Prophète et Oumar) se comporter avec bonté envers des non-musulmans et ce en aucun cas de façon hypocrite pour marchander une conversion mais plutôt par mansuétude.



De même, le Coran dit au sujet du voisinage.


Adorez Dieu et ne Lui donnez aucun associé. Agissez avec bonté envers (vos) père et mère, les proches, les orphelins, les pauvres, le proche voisin, le voisin lointain, le collègue et le voyageur, et les esclaves en votre possession, car Dieu n'aime pas, en vérité, le présomptueux, l'arrogant (Coran, 4 :36)


Mouhammad Patel écrit concernant cette injonction:


En commentant ce verset, les savants relèvent que l'injonction concernant la bonne conduite envers les voisins et les collègues ne fait aucune allusion à une éventuelle différence de traitement en fonction de la religion. Ce qui signifie qu'il s'applique également à l'égard de ceux qui ne sont pas musulmans. Ibné Hadjar r.a. confirme ceci en citant une Tradition, qui relate qu'un Compagnon (il s'agit de Ibné Oumar (radhia Allâhou anhou), si mes souvenirs sont bons) donnait justement au verset sus-cité une portée élargie. Ainsi, lorsqu'un animal était égorgé chez lui, il ordonnait à sa famille d'en envoyer une partie chez son voisin qui était de religion juive. Dans un autre Hadith rapporté par At Tabrâni, il est dit en ce sens : ' Il y a trois types de voisins : Ceux qui ont un seul droit : Il s'agit des voisins non musulmans. Il y a ensuite ceux qui ont un double droit : les voisins musulmans. Enfin, il y a ceux qui ont un triple droit : le voisin musulman qui est également de la famille. '  De même, comme il a été dit plus haut, ce verset empêche également que l'on nuise à son compagnon, même si celui-ci n'est pas musulman. Selon certains commentateurs du Qour'aane, cette injonction s'applique aussi aux collègues de travail. (Réf : ' Rouhoul Maâniy ').


Source :
http://www.muslimfr.com/modules.php?name=News&file=article&sid=121

 


Outre, la mansuétude, le musulman doit faire preuve d'équité envers tous les hommes, musulmans ou non :



Sourate 5 :8


Ô les croyants ! Soyez stricts (dans vos devoirs) envers Dieu et (soyez) des témoins équitables. Et que l'inimitié pour un peuple ne vous incite pas à être injuste. Pratiquez l'équité : cela est plus proche de la piété. Et craignez Dieu. Car Dieu est certes Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites.


Ainsi, lors de l'affaire Banû Ubayriq à Médine, au temps du Prophète (sur lui la paix), les voleurs (des musulmans hypocrites) avaient accusé un juif (selon un commentaire) d'être à l'origine du vol. Dieu, dans le Coran, vint révéler au Prophète que celui qu'on accuse est innocent et que c'est le musulman qui est coupable (Tafsîr ul-Jalâlayn, Coran 4 /105-113) ce qui montre que la justice est de rigueur en toute situation même quand la partie adverse n'est pas musulmane.


Une autre question s'ajoute : le musulman peut-il se lier d'amitié envers un non-musulman ? Certains musulmans comme Muzammil Siddîqî pensent que oui.


En fait, il semble que la réponse est plutôt négative. Non pas spécifiquement en vertu des versets coraniques souvent cités tels que 5/51, 58/22,  60/1, 60/13 etc…  parce qu'il suffit de se référer au contexte historique pour comprendre qu'ils sont rattachés à certains types bien précis de non-musulmans.


Le commentaire attribué à Ibn Abbâs dit concernant le verset 60/1:


(Ô vous qui croyez!) se référant à Hateb, (Ne Choisissez pas Mon ennemi) en religion (et votre ennemi) qui vous combat, c'est à dire. Les gens de la Mecque (pour amis) cherchant leur assistance et leur aide.
(Tanwîr al-Miqbâs min Tafsîr Ibn 'Abbâs, Commentaire de la Sourate 60:1, Source)


L'exégèse poursuit en rattachant le verset au récit de Hateb
Ibn Abî Baltaâ, ayant prévenu ses parents polythéistes de l'imminence de l'arrivée de l'armée musulmane, forte de 10 000 hommes,  à Makka et dont le récit est raconté ici.


Aussi, Sheikh Yûsûf al-Qardhawî écrit :


Les versets cités ci-dessus sont rattachés à des personnes qui étaient hostiles à l'Islam et ont fait la guerre aux musulmans. En conséquence, il n'est pas admissible pour les musulmans de les soutenir ou les aider, c'est-à-dire, être leur allié, ni de leur confier les secrets au détriment de leur propre religion et de la communauté. Ce point est expliqué dans d'autres versets, dans lequel Allah Ta'ala dit: ils ne failliront pas à vous bouleverser. Ils souhaiteraient que vous soyez en difficulté. La haine certes s'est manifestée dans leurs bouches, mais ce que leurs poitrines cachent est encore plus énorme. Voilà que Nous vous exposons les signes. Si vous pouviez raisonner! (3:118-119)

 
Ce ayah jette la lumière sur le caractère de ces personnes, qui cachent une grande inimitié et de la haine contre les musulmans dans leur cœur et dont les langues expriment certains effets de cette hostilité.


Allah Ta'ala dit aussi :

 

Tu n'en trouveras pas, parmi les gens qui croient en Allah et au Jour dernier, qui prennent pour amis ceux qui s'opposent à Allah et à Son Messager, fussent-ils leur pères, leur fils, leurs frères ou les gens de leur tribu. (58:22)

 
L'opposition à Allah n'est pas simplement la croyance, mais comprend l'hostilité envers l'islam et les musulmans. (Al-Qaradawî, Al-Halal Wal Haram Fil Islam, 1994, p. 340)



Mais cette disposition est plutôt en vertu du Hadîth, rapporté par Abû Sa'id al-Khudri…


Le Prophète (Paix sur lui) a dit: Ne fréquente qu'un croyant et ne laisse qu'un homme craignant Dieu manger ta nourriture. (Rapporté par At-Tirmidhî, n° 2395 et Abû Dâoûd, n° 4832)


La phrase þáÇ ÊÕÇÍÈ ÅáÇ ãÄãäÇ (ne fréquente qu'un croyant) signifie qu'il ne faut pas être le compagnon intime d'une autre personne excepté un croyant. Ceci ne signifie nullement qu'il est Haram (illicite) d'inviter un non-musulman à manger chez soi, à plus forte raison si il s'agit d'un proche parent. Il est aussi permis à un musulman de répondre favorablement à une invitation de ce type, pourvut que la nourriture servie soit licite (al-Fatawa al-Hindiyya, 5/347). Le Prophète Muhammad, s.a.w.s, avait accepté l'invitation d'un non-musulman (Ibn Qudama, al-Mugni, 7/3) similairement, il invita des non-musulmans dans sa maisonnée. (Sahih Muslim, n° 2063)


L'injonction du Hadîth suscité est explicitée par cet autre Hadîth… 

 

Abû Hourayra a rapporté que le Prophète (paix sur lui) a dit: "L'homme est sur la religion de son khalîl (ami) ; que chacun regarde donc qui il prend comme khalîl (ami)". (Rapporté par Abû Dâoûd)

 
Le Prophète (que la paix soit sur lui) nous dit tout simplement que nous ne devrions pas être amis ou compagnons intimes de personnes qui peuvent avoir une influence négative sur notre foi. La règle souffre bien sur de quelques exceptions de sorte qu'on ne peut les appliquer systématiquement à tous les non musulmans. On peut avoir par les non musulmans des voisins, des collègues de travail, des camarades d'études, voire des parents (mère, père, frères, soeurs, cousins, neveux, nièces, oncles, tantes, etc). Donc, c'est au cas par cas que l'on doit traiter cette question, étant donné que certains versets coraniques et hadîths prophétiques font obligation de bien traiter les voisins et les parents sauf s'ils te poussent à associer à Dieu une divinité. Par conséquent, la question du mariage avec une non-musulmane chaste et croyante des Gens du Livre (permis selon Coran, 5/5) doit être traitée de la même façon. Il ne doit pas y avoir d'a priori ni de préjugés s'agissant d'une éventuelle future épouse et à plus forte raison une personne à appeler à la connaissance ou à la conversion à l'islam. De ce point de vue, il n'y a aucune interdiction de se lier d'amitié envers une personne censée être une future épouse.   

 
En dehors de cela, la prohibition est de rigueur car il y a une grande chance de commettre des péchés, car ledit ami non-musulman ne partagera pas la conviction que certaines choses qui sont haram pour un musulman sont aussi haram pour lui. De ce fait, il y a un risque de commettre des péchés en le fréquentant. Aussi, au fil du temps, le coeur pourrait trop s'adoucir pour cette personne de façon à ce que l'on commence à croire de façon erronée que Dieu ne l'enverra pas éventuellement en enfer. Une telle croyance est synonyme de Kufr.


Ainsi éviter ce genre d'amitiés revient à protéger sa foi. Ceci dit, cela n'interdit pas toute forme de contact entre un croyant et un incroyant. Il y a un récit rapporté par al-Bukhârî dans son sahîh où on lit ceci: Sa'd ibn Mu'âdh était sadîq de Umayya ibn Khalaf"; le même récit précise que l'un se rendait chez l'autre quand il allait dans sa ville (le premier est un Compagnon de Médine, le second un polythéiste de la Mecque); le même récit précise que Sa'd avait déjà entendu le Prophète (sur lui la paix) dire que les musulmans tueraient Umayya ibn Khalaf (rapporté par al-Bukhârî, livre des Campagnes militaires, chapitre 2)


"Sadîq" est différent de "khalîl" qui exprime une amitié beaucoup plus forte, qui amène l'un à être influencé par les idées de l'autre ("L'homme est sur la religion de son khalîl ; que chacun regarde donc qui il prend comme khalîl". )


Il faut aussi faire remarquer que cette mesure n'est pas spécifiquement discriminatoire pour les non-musulmans et elle s'applique aussi à une personne "musulmane non pratiquante", qui par exemple à l'habitude de s'enivrer. Etre son compagnon intime risquerait aussi d'avoir une incidence négative sur notre foi puisque l'accomplissement de péchés à une incidence sur l'Imân d'une personne (Coran, 83/14). Dieu a puni les israélites parce qu'ils ne s'entraidaient pas mutuellement mais se laissaient aller.


Sourate 5:78-79


Ceux des Enfants d'Israël qui n'avaient pas cru ont été maudits par la bouche de David et de Jésus fils de Marie, parce qu'ils désobéissaient et transgressaient. Ils ne s'interdisaient pas les uns aux autres ce qu'ils faisaient de blâmable. Comme est mauvais, certes, ce qu'ils faisaient!

 

Ainsi, nous devons choisir d'être proche de ceux qui exerceront une influence positive. Cela s'applique aux musulmans "non ou pas assez pratiquants" (ils sont pécheurs et poussent à commettre des péchés) et à fortiori aux non-musulmans. Ceci cependant ne remet pas en cause le fait de faire le bien à l'un de ces gens car il n'y a point besoin d'être lié d'amitié avec une personne pour être bienveillant envers elle.


 

Wa Allâhou A'lam



Moussa Youssouf



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29/05/2008
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